OPENING NIGHT a vaudeville

OPENING NIGHT

a vaudeville

(2012)

 

OPENING NIGHT a vaudeville

 

Starring Mark Tompkins & Mathieu Grenier

 

La Crise ? Quelle Crise ?
There's No Business Like Show Business !

 

OPENING NIGHT a vaudeville

 

LE VAUDEVILLE AMERICAIN

Le Vaudeville américain (1880-1930) représente à la fois la prolongation et le renouveau du Minstrel show. Très influencé par l’arrivée massive des immigrés européens, et notamment des Juifs de l’Europe de l’Est, le Vaudeville reprend certains des mécanismes de cette tradition, comme le song-and-dance ou le stand up comedy, mais s’en éloigne par le format et le contenu. Le Vaudeville est plutôt une suite de numéros éclectiques où la dichotomie noir et blanc et les connotations raciales du Minstrel show ont disparu, remplacées par une sensibilité ethnique plus large.

Dans un spectacle typique de Vaudeville, dix à quinze numéros de chant, de danse, de comédie, d’animaux, de magie, de cirque…, s’enchaînent. Le succès du Vaudeville par rapport à d’autres genres de théâtre comme la Variété, le Burlesque ou le Music Hall se trouve dans son engagement à offrir du divertissement respectable pour toute la famille. A l’âge d’or du Vaudeville, de véritables palais de consommation somptueux et modernes furent construits, où le show tournait en boucle du matin au soir. Le concept américain d’entertainment de masse était né.

OPENING NIGHT

OPENING NIGHT est un vaudeville contemporain mené par Mark Tompkins, le vieux routier, et Mathieu Grenier, le jeune loup. Avec leurs numéros de song-and-dance tragi-comiques, ils nous parlent des thèmes universels de la vie, l'amour et la mort. L’amour commun qu’ils partagent pour le vaudeville et le music-hall est le point de départ de leur rencontre et de leur confrontation.

Quelque peu irrévérencieux, les deux protagonistes juxtaposent les danses populaires d’hier comme les claquettes et le soft shoe avec les rythmes corporels et le beat box d’aujourd’hui. Ils traversent un siècle de musique en chansons tubes : Are You Lonesome Tonight de Elvis Presley ; Run The World (Girls) de Beyoncé ; You’ve Lost That Lovin’ Feelin’ des Righteous Brothers ; Mad About the Boy de Noel Coward ; One Night Only de Dreamgirls ; There’s No Business Like Show Business d’Irving Berlin, et leurs propres compositions : I Wanna Be A Hero ; Be A Star ; Voilà, Voilà, Voilà ; Hey Brudder.

La scénographie est constituée d'éléments légers et transformables : un rideau argent, plusieurs escabeaux, une planche et un fer à repasser, et un porte-vêtements à roulette, qui se transforme en paravent ou rideau de scène. De nombreux costumes décalés et improbables viennent compléter ce dispositif. Les jeux entre la scène et les coulisses servent de moteur dramatique. Au cours de la soirée, la vérité du show et le mensonge de la vie, si ce n'est pas l'inverse, se mélangent et se confondent.

L’ENJEU DU JEU

De premier abord, OPENING NIGHT peut paraître comme un simple divertissement, un show où s’enchaînent des situations comiques et des numéros de song-and-dance. C’est un Vaudeville de pauvre, avec seulement deux interprètes qui jouent tous les numéros et tous les rôles (presque) à eux seuls. Le décor, les accessoires, les costumes, les numéros pas vraiment au point, les deux techniciens qui rôdent : tout laisse croire que l’on est dans une production un peu cheap ou trash.

 

Mais au fil du temps, une fable plus ambivalente et émouvante émerge, sur la transmission joyeuse mais parfois difficile entre une Star vieillissante et son jeune et talentueux protégé, prêt à tout pour réussir. L’alchimie qui advient entre ces deux êtres, voués corps et âme au show, atteint petit à petit un autre niveau de profondeur. Dans ce monde, gagner sa place en toute légitimé ou céder sa place humblement et sans regret, ce sont les vrais thèmes d’OPENING NIGHT.

 

 

OPENING NIGHT a vaudeville

Junior et Momma

 

avec
Mark Tompkins : Momma, Mr. T
Mathieu Grenier : Junior
Rodolphe Martin : Rodo le chien, Salomé, Athéna
Jean-Louis Badet : Lulu


Conception : Mark Tompkins en collaboration avec Mathieu Grenier
Scénographie et costumes : Jean-Louis Badet
Création et régie lumière : Rodolphe Martin
Collaboration à la mise-en-scène : Frans Poelstra
Assistante : Alix Denambride


Administration, diffusion : Amelia Serrano
Assistante administration : Sandrine Barrasso

 

Créé le 2 août 2012 au Festival ImPulsTanz à Vienne

Durée 65’

Ce duo peut tourner dans des petits théâtres et des scènes de musique.

 

OPENING NIGHT a vaudeville 

EXTRAITS DE PRESSE

 

 

OPENING NIGHT n’est pas seulement une chevauchée sur les vagues sentimentales du vieux cabaret, mais aussi une réflexion ironique sur le métier même de l’entertainment.               

Helmut Ploebst, Der Standard, 4 Août 2012

 

Qui a dit que la Variété était morte ? 
Mark Tompkins et Mathieu Grenier la bichonnent dans le plus pur style du vaudeville et du music-hall qui a vu naître des comiques comme Charlie Chaplin ou Stan Laurel. (…) Finalement, ces nouveaux artistes de Variété sont les antéchrists de la mode dominante de la danse contemporaine qui, avec leurs visions stylistiques élargies, se dressent contre la froideur sobre de la danse conceptuelle. 

Alfi Oberhausen, Falter, 4 Août 2012

 

OPENING NIGHT est l’un des temps forts d’ImPulsTanz 2012. Bien que présenté comme une courte histoire du vaudeville fait avec peu de moyens, dans son essence c’est une contemplation mélancolique de la vie, de l’amour et du vieillissement. Il m’a fait rire, il m’a fait pleurer, et il reste encore avec moi. (…) L’idée de la performativity, un des points centraux dans la théorie et la pratique de la danse actuelle, est démystifiée et réduite à du divertissement pur. C’est rafraichissant de retourner aux fondamentaux, d’une manière ironique mais pas du tout cynique.

Iva Nerina Sibila, www.jardindeurope.eu, 10 Août 2012

 

Parfois, on est tout simplement époustouflé par une pièce de théâtre. Cela m'est arrivé hier avec OPENING NIGHT. En théorie, le spectacle s’affiche comme un divertissement léger et du performance art, deux des genres que j’apprécie le moins. Du moins c'est ce que je pensais avant de voir Mark Tompkins et son partenaire Mathieu Grenier. Ce sont des chanteurs doués et des acteurs très accomplis. Ils sont très drôles, mais ne le campent pas. Ils chargent leur matériel avec du sens et de l'absurdité, et le poussent à l’extrême. Ce serait formidable si d’autres artistes pouvaient voir cette pièce pour apprendre comment le travail réel se fait. 

Alec Kinnear, www.uncoy.com, 5 Août 2012

 

OPENING NIGHT a vaudeville
 

Théâtre de la Cité internationale, Paris du 24 au 29 janvier 2013 

 

 

Mark Tompkins présente un vaudeville à l’américaine hilarant et déluré
Plaisir incommensurable, il est encore des personnes qui savent enchanter le monde. Tout commence par un rideau de scène d’une parfaite ringardise rose pailletée, qui s’ouvre sur un autre rideau de fond de scène argenté. Et c’est parti pour un voyage insensé où valsent les tables à repasser, où des prestidigitateurs peu consciencieux ratent leur numéro, où des créatures de rêve complètement déprimées et usées tiennent encore le haut du pavé grâce à leur élégance décalée. Le duo Mark Tompkins et Mathieu Grenier fonctionne parfaitement. Les voix sont belles, les danses à la fois de salon et de rue, le rythme enlevé, le décor se crée en temps réel et l’illusion comique se mêle au réel dévastateur. Opening Night est une revue comme on aimerait en voir plus souvent. Tompkins et Grenier mènent à deux une sacrée sarabande où quelques pailles de couleur répandues sur scène deviennent le plus enchanteur des décors. Marie-Christine Vernay, Libération, 25 janvier 2013

 

Mark Tompkins, sur le fil, comme au premier jour
Casser la voix, manquer de souffle. Mais encore revendiquer le mauvais goût, la pauvreté, le presque rien. Oser être minable, parfois même ridicule et s'en amuser. Il faut du panache pour additionner volontairement tant de handicaps. Mais parce que There’s no people like show people, they smile when they are low, Mark Tompkins n'a peur de rien. Accro à la scène, perfusé aux paillettes, il assume. Travesti en vieille folle tendance leggings dorés, ou déguisé en danseur tradi à grosses moustaches, il enfile les numéros avec vitalité. En duo avec Mathieu Grenier, jeune interprète talentueux avec qui il a conçu le spectacle, il signe un manifeste inconfortable sur le destin d'artiste entre glam et cheveux blancs, prêt à mourir sur scène comme à en jouir. Rosita Boisseau, Le Monde, 26 janvier 2013

 

Mark Tompkins l’enchanteur ! 
Merveille que cette nouvelle création où Mark Tompkins revisite avec bonheur et pour le nôtre le vaudeville américain. L’impression d’un cabaret en bout de course où les numéros se suivent, plus ou moins et en toute conscience ratés, et dans le chaos d’une rivalité entre deux artistes. Mark Tompkins a trouvé en Mathieu Grenier un alter ego de poids. Leur complicité est épatante, éclatante, et leur duo est tout simplement évident. Il y a quelque chose de mélancolique de voir le premier passer le flambeau au second mais sans renoncer à ce qui fait sa vie. Mais mélancolie ne veut pas dire nostalgie, Tompkins s’inscrit dans une lignée dynamique. Proche de l’entertainment, depuis longtemps il interroge l’histoire de la danse, brasse les genres et montre la porosité nécessaire de tout acte créatif. Il ne s’agit pas de cloisonner mais de jeter des passerelles d‘une rive à l‘autre. Question de survie. L’ironie mordante avec lequel il s’attache au vaudeville n’est pas cynisme. C’est un véritable hommage amoureux d’un showman accompli qui se refuse à séparer les genres. Let’s go on with the show ! 

Denis Sanglard, Un Fauteuil pour L’Orchestre, 28 janvier 2013

Derrière le rire, Opening Night met en travers de la gorge la question de la transmission et de l’artiste vieillissant. Momma n’a plus tout son souffle, mais le dernier, il le rendra sur scène, on peut en être sûr. Sans jamais aucun cynisme, avec un véritable amour pour la scène, Mark Tompkins et Mathieu Grenier mènent de bout en bout ce show improbable. Et c’est un bonheur de voir ces Guss jouer sans compter, sans protection aucune, foncer, sans craindre jamais aucun ridicule.  Le rideau se ferme, Momma et Junior nous régalent d’un bis ! There’s no business like show business, Everything about it is appealing…Magistral. 

Véronique Klein, Mediapart, 25 janvier 2013

OPENING NIGHT a vaudeville
Opening Night se joue des paillettes et des plumes, des fausses fourrures en léopard et des voiles translucides, dans un tourbillon de numéros tragi-comiques. L’alchimie prend, au fil des numéros qui revisitent des tropes incontournables du music hall : la diva nostalgique, sur le retour, avec son leggings doré et ses bigoudis désuets, le Junior turbulent qui tend à lui voler la vedette, les duos drôles et les situations les plus incongrues, telle cette apparition en moustachus égyptiens qui finissent par se déhancher sur les rythmes de Beyoncé. La complicité est de mise. La franchise avec laquelle ils se donnent le change finit par séduire. Une tension intergénérationnelle nourrit en profondeur la matière de la pièce. Il y va d’une passation de flambeau. S’il est désormais certain que nous allons entendre parler de plus en plus de Mathieu Grenier, dont la formidable gouaille laisse l’audience conquise, gageons également que Mark Tompkins n’a pas dit son dernier mot – ses prochains spectacles seront attendus avec autant d’enthousiasme. 

Smaranda Olcese, toutelaculture.com, 27 janvier 2013

 

La générosité de Tompkins, si c'en est une, nous invite sans limite à partager les situations et les sentiments aussi intimistes et troublants soient-ils ! L'action face public, les artistes prenant toujours les spectateurs à témoin, la grâce nous envahit de suite mais la gêne aussi. Comme dans son solo Song and Dance, avec une certaine impudeur jamais vulgaire mais bien provocatrice, le vivant hurle sa résistance à tous les clichés, à tous les interdits, aux limites, à la mort. Mais la bascule d'un moment plus angoissant est parfaitement orchestrée pour ne jamais céder au pathos, rebondissant adroitement sur la vitalité du show. Le public est conquis, les applaudissements explosent et ne s'arrêtent plus. 

Sophie Herbin, Danzine, 27 janvier 2013 

OPENING NIGHT a vaudeville
OPENING NIGHT a vaudeville
Opening Night est un spectacle léger et frais, ludique et bordélique autant que précis et rythmé, une petite forme spontanée et sans prétention. C’est aussi et avant tout un duo avec le danseur Mathieu Grenier, nouveau complice du chorégraphe, sorte de double scénique inversé. Car autant Tompkins est démesurément grand, dégingandé, doté d’un visage de caractère - une gueule comme on dirait au cinéma - physiquement hors norme, patiné par l’âge, autant Grenier est lisse comme un jeune premier, sans aspérités ni caractéristiques identifiables, une sorte d’échantillon pur d’individu lambda. Mais petit à petit, au fur et à mesure des numéros, les deux compères tendent à se rapprocher, s’accorder, voire se jumeler, miroir l’un de l’autre dans des tours de danse et de chant où explose leurs talents. On connaissait celui de Mark Tompkins, on découvre celui de Mathieu Grenier, véritable bête de scène, charismatique et lumineusement doué, qui chante et danse avec une aisance qui efface toute la technique requise. A le regarder, on dirait que c’est inné et ce n’est pas trop de dire que ce jeune homme est une révélation. 

Marie Plantin, Pariscope, 29 janvier 2013

 

Mark Tompkins en grande forme
Tompkins et son multi-talentueux duettiste, l’excellentissime pianiste-chanteur-danseur et, surtout, comédien Mathieu Grenier, renforcés par les techniciens polyvalents Rodolphe Martin et Jean-Louis Badet, passent en revue des pans entiers de la culture musicale populaire américaine. Des danses pour émissions de télé restituées avec une précision diabolique, avec du chic et du style, un sens certain de la dérision, énormément de la finesse. Dans ce show, rien n’est complaisant ni rétrograde. Les danses sont, bien sûr, particulièrement soignées, que ce soient les claquettes en soft shoe dignes d’un Bill Robinson ou d’un Fred Astaire, les gesticulations pseudo-égyptiennes en hommage aux vaudevillistes Wilson, Keppel et Betty ou aux chorus boys de Beyoncé. Qui plus est, les artifices du spectacle, désignés comme tels, gentiment moqués à plusieurs reprises, sur différents modes, avec des moyens du bord réduits à l’essentiel, au minimum scénographique syndical réalisés par Jean-Louis Badet, des éclairages nets et précis signés Rodolphe Martin, continuent à produire leur effet de fascination sur le public… 

 

Nicolas Villodre, Umoove, 28 Janvier 2013

OPENING NIGHT a vaudeville 
OPENING NIGHT a vaudeville 

BIOGRAPHIES

Mark Tompkins
Danseur, chorégraphe et pédagogue américain, Mark Tompkins vit en France depuis 1973. Après une série de solos et spectacles collectifs, il fonde en 1983 la compagnie I.D.A., International Dreems Associated. Au fil du temps, sa manière unique de fabriquer des objets performatifs non identifiés est devenue sa signature. Solos, pièces de groupe, concerts et spectacles mêlant la danse, la musique, le chant, le texte, la vidéo, sont les étapes de ce parcours initié dans les années 70 et poursuivi avec la complicité du scénographe et costumier Jean-Louis Badet depuis 1988. En parallèle, il mène une recherche sur l’improvisation et la composition instantanée à travers son enseignement et des performances avec d’autres danseurs, musiciens, éclairagistes, vidéastes. Ces dernières années, ses spectacles évoluent vers le théâtre musical et trouvent leur inspiration dans le music-hall-ANIMAL ; le cabaret-kings&queens ; l’opérette-LULU ; le minstrel show-BLACK’N’BLUES ; le vaudeville-OPENING NIGHT et la comédie musicale-SHOWTIME. En 2008, il reçoit le Prix SACD de la Chorégraphie pour l’ensemble de son œuvre.

 

Mathieu Grenier
Il étudie la musique, le théâtre, et la danse contemporaine au Conservatoire Régional de Bordeaux. En 2009, il participe à la formation ex.e.r.ce au CCN de Montpellier auprès de Mathilde Monnier, Mark Tompkins, Loic Touzé et Stéphane Bouquet. Il rejoint la compagnie I.D.A. en 2010 dans BLACK'N'BLUES. En 2012, il crée deux duos, When I don't dance I collect crystal balls avec Magdalena Chowaniec à Tanzquartier à Vienne, et Petit éloge 2 avec Julie Oosthoek au Cuvier - CDC Aquitaine. Il est musicien, compositeur et arrangeur du groupe The Toys.

 

Jean-Louis Badet, Scénographie et Costumes
Etudie la peinture à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris et de Perugia en Italie. A partir de 1970, résidant au Danemark, ses activités de peintre le conduisent à collaborer avec des chorégraphes pour la réalisation de décors et de costumes. De 1980 à 1992, il dirige l'association Espace Danse au sein de l'Institut Français de Copenhague, qui présente et produit de jeunes chorégraphes français et internationaux. Depuis 1988, il est scénographe, costumier et collaborateur artistique de la Cie I.D.A. En 2010, il joue dans L’oubli, toucher du bois de Christian Rizzo.

 

Rodolphe Martin, Lumière et Régie générale
D'abord régisseur général au sein de plusieurs compagnies, il développe une façon personnelle de transformer n’importe quel lieu, d’une friche industrielle à un théâtre conventionnel, en scène. Il découvre les rigueurs de l’éclairage, de la direction technique et des esthétiques différentes en collaborant avec Carolyn Carlson, les compagnies Lahorsde et Eric Massé. Avec I.D.A. depuis 2007, il crée la lumière de ANIMAL Femelle, LULU, empty holes et kings&queens, et goûte à la performance.

 

Frans Poelstra, Collaboration à la mise en scène
Performer hollandais, il participe à de nombreux projets d'improvisation avec Steve Paxton, Lisa Nelson, Mark Tompkins, Sasha Waltz, Vera Mantero, Benoît Lachambre, David Zambrano, Katie Duck... Avec la Cie I.D.A., il est interprète dans les spectacles Nouvelles, La Plaque Tournante et Home, et collabore en tant que regard extérieur sur Song and Dance et ANIMAL. Depuis quelques années il collabore avec le dramaturge et performer Robert Steijn. Leurs productions, notamment Frans Poelstra, his dramaturg and Bach, tournent à l’étranger.

 

 

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